SYMBOL
Hitoshi Matsumoto – 2009
Le sexe d’un ange à portée de doigt et l’espace infini d’un esprit
joueur sous les pieds, l’Homme ouvre la bouche, ébahi. Happé par la
Surprise et manipulé par la peur, le type plonge en plein caucherève
avec pour seule bouée l’espoir qu’un de ces interrupteurs l’aide à
sortir d’ici. Mais il est prisonnier d’un univers complexe, qui évolue
selon ses propres règles : cohérence mesurée, foutoir lapidaire et sushi
frais sont bien maitres suprêmes en ces lieux et le catcheur à la peau
gluante n’est pas prêt pour ce combat. Matsumoto enchaine les plans
culottés comme un samurai shooté au crack les découpages de chair, avec
toujours ce soucis de pureté loufoque lové au creux de l’objectif;
joyeux bordel onirique que ce « SYMBOL » qui réalise un épatant FACEWASH
dans la trogne de son adversaire : l’ennui.
joueur sous les pieds, l’Homme ouvre la bouche, ébahi. Happé par la
Surprise et manipulé par la peur, le type plonge en plein caucherève
avec pour seule bouée l’espoir qu’un de ces interrupteurs l’aide à
sortir d’ici. Mais il est prisonnier d’un univers complexe, qui évolue
selon ses propres règles : cohérence mesurée, foutoir lapidaire et sushi
frais sont bien maitres suprêmes en ces lieux et le catcheur à la peau
gluante n’est pas prêt pour ce combat. Matsumoto enchaine les plans
culottés comme un samurai shooté au crack les découpages de chair, avec
toujours ce soucis de pureté loufoque lové au creux de l’objectif;
joyeux bordel onirique que ce « SYMBOL » qui réalise un épatant FACEWASH
dans la trogne de son adversaire : l’ennui.